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Le blog des daubes
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2 juillet 2007

07/06/29 - Partie 13

Ce vendredi 29 juin se tenait la 13e partie du DPC sous le toit du pénible, qui avait pour l’occasion invité le gratin des daubes : Arnaud, Pulp, Jean-Bad et son cousin Gé, le pénible et moi-même. Quelques défections à noter telles que celle du mexicain, qui, 28 jours après sa première défection n’était pas autorisé à mettre un pied dehors et celle de Gwen ne pouvant sécher le rassemblement annuel des jeunes chasseurs bretons dans la capitale.

Une partie assez étrange en fait mais néanmoins animée. Etrange car très difficile de se remémorer des mains. Animée car 4 joueurs se sont recavés, certains plusieurs fois.

Il m’est donc difficile de raconter les mains importantes, aussi vais-je me limiter aux miennes :

J’avais décidé d’alterner jeu serré et jeu agressif. Aussi ai-je commencé à me faire la main sur quelques attaques pré-flop ou quelques relances post-flop, ce qui me permettait de récolter de fréquents petits pots et d’augmenter tout doucettement mon stack au départ et de jauger la forme de mes adversaires. Je commençais à délester Gérôme, que je sentais chaud, de 20-30% de son stack. Gérôme qui avait décidé d’être résolument agressif en ce début de partie se fit rapidement dépouillé par son cousin Jean-Bad qui, privilégiant l’esprit de famille (sauf pour répondre à sa grand-mère qu’il n’irait pas à son anniversaire car il avait tournoi de foot), arborait fièrement un tee-shirt Lacoste que je regardais envieux, moi qui n’avait pas eu de cadeau pour ma fête, le 24 juin également.

Bref, Gérôme se recavait rapidement, bientôt suivi par le pénible qui avait décidé d’animer la soirée à sa façon. Avait-il tenté de bluffer Pulp ? Cela n’avait pas fonctionné et Pulp d’augmenter sensiblement son stack. Les deux chip leaders du moment, jean-bad et pulp, participaient alors activement aux débats. Curieusement, ces débats, du début à la fin, étaient très courtois pré-flop, avec de nombreuses opportunités pour la BB de voir le flop sans bourse délier, suivies par des relances post flop, aggressives pour les uns, alléchantes pour les autres.

En témoigne une main où, en position de BB avec J9o, je pus voir le flop suivant : J-9-7. Ouverture à 50 d’une daube à ma droite (Arnaud ou JB) que je relance à 150, fort de mes 2 paires max. s’ensuit alors une relance énorme de 500 de Pulp que je collais bien évidemment. Ce type de relance est typique d’un nouveau riche voulant arracher le pot illico me disais-je. Bref, je décidais de rester prudent et de laisser pulp faire le jeu. Ce dernier décidait alors de checker deux fois en fin de parole, je récupérais alors un pot de plus de 10 euros.

S’en suivit alors d’une longue et lente descente aux enfers pour la colle. Jb quant à lui trouvait de plus en plus de répondant à ses relances sur-vitaminées, notamment face à son cousin qui avait adopté une stratégie plus serrée. Le stack du rider diminuait également.

A un moment ou mon stack avait doublé, je décidais de suivre une ouverture préflop du basque. J’avais AK à cœur et le flop donnait 3 merdes, dont un dix et 2 cœurs. Ce pour quoi je décidais de suivre l’ouverture de 200 post flop et 400 post turn. La river de me donnait rien, alors que JB annonçait tapis avec ses 800 chips restants. J’allais me coucher, non sans le faire chier un peu en lui demandant de compter son tapis.

Les débats reprenaient alors de plus belle, le pénible décidant de se recaver une fois de plus, suivi ou précédé par Arnaud, assez timoré lors de cette partie, tout comme pulp qui eut quelques rencontres malheureuses. Nous étions alors à 5 recaves et 110 euros dans le pot. Je me portais bien. J’étais entre 2000 et 3000. Je rencontrais alors le pénible qui, après ma relance à 150, me relancait à tapis soit 700. Je callais et remportais le pot avec 2 paires (ou top pair top kicker ….).

J’allais de mieux en mieux et j’entendais de-ci dela les mots « chatte », « choune » voire « chatard ».

Jb décida alors de se suicider purement et simplement. En deux coups contre pulp. Je ne me souviens pas des coups exactement, mais le rider devint bien pale lorsque pulp dévoilait sa couleur, lui n’ayant qu’une paire max ou qqch dans le style. C’était l’avant dernier coup de la partie et le dernier pour jean-baptiste.

Bref, une partie à oublier pour beaucoup mais qui va resserrer le classement à l’instar de celui de la L1 puisque le pénible (toujours 1er) et le mexicain (9e et premier positif) ne sont séparés que de 17 euros….

-Maverick-

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